Cymbalaria est un miracle. Une enfant semi-mécanique sauvée de la mort et du handicap par les doigts d’orfèvre de son oncle Kustaff. Ce dernier l’élève seul depuis sa naissance dans la paisible ville portuaire de Limlomin, dans l’espoir qu’elle puisse un jour retourner vivre une vie normale auprès de ses parents.
Lorsque Kustaff disparaît, elle s’engage dans un périple haletant jusqu’à l’autre bout du monde pour savoir ce qu’il lui est arrivé. Poursuivie par l’Empire de Suie, Cymbalaria va découvrir qu’elle n’est peut-être pas qu’un simple bébé rescapé… pas plus qu’un miracle.
Comme je l’avais évoqué dans le précédent article de la catégorie, il aurait été judicieux de commencer la publication de L’Héritière Artificielle avec son résumé en tant que préambule.
Je ne possède pas toujours de quoi introduire une histoire. Je pense même que dans le cas de certaines, il faudra attendre d’avoir plus ou moins bouclé la narration pour savoir comment les décrire. En revanche, pour celle-ci, l’avantage de savoir très précisément où je vais m’a permis de poser une base solide dès le début. Alors, puisqu’il existe quasiment depuis les premières tribulations, pourquoi s’en priver.
D’autant plus que, vous l’aurez remarqué, j’ai essayé de faire aussi court qu’efficace. J’ai un peu peur que l’abondance de noms propres rebute certains, mais nous sommes bien dans une histoire de Fantasy, donc je pense que chaque information a sa place. Au pire, ce résumé peut jouer le rôle d’avertissement pour ceux qui ne sont pas épris de ce type d’univers. Au mieux, il aura piqué une curiosité prête à s’engager dans l’aventure.
Le Prologue contraste d’autant plus désormais qu’il n’évoque pas les personnages principaux cités dans ce résumé, mais si vous êtes des dévoreurs de livres, ce ne doit pas être la première fois que vous êtes confrontés à ce type d’introduction. Pas de crainte à avoir cependant, dès le premier Chapitre nous reviendrons à nos moutons, l’ensemble trouvera son sens avec le temps.
Sur ce,
Belle Lune,
Wayce Upen Foya