Aujourd’hui signe le retour, pour cette fois au moins, de la chronique des résumés de semaines. Je ne suis pas certain d’avoir toujours quelque chose à présenter au cours du mois prochain, mais à partir de fin Juillet et pour tout le mois d’Août au moins, il serait salutaire que je reprenne ce vieux réflexe. J’ai pu le dire par le passé, ces abrégés sont une façon comme une autre pour moi de me fixer des objectifs à atteindre. À l’heure actuelle, ces objectifs seraient noyés entre le stage et les impératifs administratifs et scolaire, la planification du déménagement, ou que sais-je encore. Pour ce motif, je ne me suis pas fixé d’impératif lors de cette période. D’autant plus que mes journées m’épuisent et qu’écrire a beau me détendre, c’est bien la dernière chose qui me repose. Je fais donc quelques réalisations lorsque j’ai des temps morts, mais pas de quoi envisager les dix mille mots par semaine comme je le ciblais passé un temps. Je garde tout ça au chaud pour cet été (ou au frais, plutôt ?).
Néanmoins, la semaine qui vient de s’écouler méritait sa petite gloire. Je n’ai pas de joli tableau rempli de chiffres à vous montrer, et il ne serait d’ailleurs pas renversant, mais nous sommes quand même au-dessus d’une moyenne plus franchie depuis longtemps. Dans les faits, il y a majoritairement deux points à relever :
Premièrement, je me suis amusé à écrire deux nouveaux poèmes, qui intègreront donc le recueil que je construis en ce moment et que j’ai sobrement intitulé Manies. Je pense qu’ils y ont parfaitement leur place. Le premier, intitulé Le Cri de l’Ange, m’a demandé pas mal de travail puisque j’essayais non seulement de le faire régulier, mais je n’ai qui plus est pas du tout la maîtrise des octomètres. Il s’est donc étalé sur deux jours – parce qu’il fallait bien caser des heures çà et là pour le construire. Le deuxième, Némésis, est un peu plus brut et sorti de façon intuitive, mais je n’avais pas temps de compter les syllabes. De plus, ce côté rustique s’accorde avec le propos, il n’y a donc pas de raison de tout changer. Ces deux productions ne vous seront pas livrées dans la foulée, justement parce que je veux avancer la publication du Recueil de Feuilles Mortes et enchaîner ensuite avec le nouveau volume qui est plus représentatif, autant de mon style que de mon état.
La deuxième grande production de ces derniers jours, c’était l’achèvement du Chapitre 2 de dHdC. Qu’est-ce que “dHdC » ? Une histoire courte dont le nom complet est Les Malédictions sont toujours des Histoires de Cœur mais dont même l’abréviation – LMstdHdC – était très lourde, donc je l’ai tronquée. Mon objectif avec ce petit projet se situe entre 7 et 9 chapitres, qui, à mon avis, seront suffisants pour conclure la narration avec tous les éléments que je souhaite y inclure. Cette production n’émerge pas du néant, et fait en réalité partie d’un de mes plus gros projets, dont elle serait une forme de préquel. En revanche, vu sa taille relativement courte et à raison de un chapitre toutes les semaines et demie, on peut facilement dire que cette chronique est à la fois la plus avancée et la plus rapide. Si je ne l’ai pas évoquée avant, c’est parce qu’elle reste malgré tout une production secondaire et que je n’envisagerai de la publier qu’une fois complète. Ainsi, même si l’inspiration m’est tombée dessus le mois dernier, je sais qu’elle n’arrivera pas demain sur le site. Cependant, vu que sa création avance bien, il n’est pas dérangeant de l’évoquer.
Enfin, même si cela ne sera pas perceptible sur le long terme, j’ai pu rattraper le petit de retard que j’avais accumulé sur les articles et ainsi lisser et régulariser les sorties. C’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai publié plus en cette fin de semaine. J’ai quand même fait en sorte que le creux de productivité ne se ressente pas trop sur les intervalles finaux, mais le rythme était retombé. Je n’ai pas compté ça comme un point important car même si je suis content d’avoir tout remis en place, cela fait avant tout partie de la “normalité” du site et c’est quelque chose que j’exige de moi quoi qu’il arrive.
Pour conclure, malgré le travail demandé par le stage et d’autres obligations personnelles, j’arrive à me débrouiller pour écrire un peu. On maintient donc le cap, en languissant les vacances qui devraient être beaucoup plus prolifiques.
Sur ce,
Belle Lune,
Wayce Upen Foya